Elisabeth Estienne vous invite à découvrir son atelier
elisabeth.estienne@gmail.com
06 28 60 05 20
L’atelier Kerdoel est ouvert à votre demande
Vous pouvez la retrouver sur Facebook ou Instagram
Elisabeth est artiste plasticienne, diplomée d’Histoire de l’Art, art-thérapeute et Infirmière diplomée d’état
Elle utilise différents supports tels que : le bois, le verre, le plâtre, le carton, les matériaux recyclés et la laisse de mer pour créer.
Elle propose des séances d’art-thérapie et des stages d’initiation à la mosaïque dans son atelier
Techniques de base pour découvrir… poursuivre ou finaliser un ouvrage à votre rythme,
dans une ambiance calme et chaleureuse.
« Selon vos besoins je répondrai à vos interrogations techniques et esthétiques pour la réalisation de votre création telles que : la préparation de votre dessin, le choix des matériaux et de vos outils, le collage des tesselles, la pose du joint, la finition de votre mosaique (tableau décoratif, intérieur ou extérieur, dans la salle d’eau, en crédence de cuisine, au sol …) »
atelier mosaique 3h
Pour adultes et enfants de plus de 12ans – 10h/13h ou 14h/17h –
– 55€/séance/pers – 50€ dés la 2ème séance – Tarif spécial groupe –
En vente à l’atelier : tesselles de céramique, pâte de verre, pinces, support ardoise , bois, filet…
Contactez moi si vous désirez plus d’information sur les séances ou réserver un créneau d’atelier
Voici quelques réalisations :
Mosaïques intérieures et extérieures
Crédence de cuisine et de SDB, douches à l’italienne ou vitraux créés en mosaïque sur verre…
Peintures à l’acrylique et à l’huile sur toile ou sur papier
Je travaille à l’huile les teintes à partir des couleurs primaires. Je commence par le cyan, ma couleur de base, l’océan étant proche de cette teinte, puis j’ajoute du jaune afin de créer les couleurs de l’eau dans des zones de faible profondeur. Le sable du fond éclaire le bleu et le transforme en turquoise, en vert, en émeraude particulièrement sur les plages de la côte des sables que j’arpente par tous les temps. Puis je joue avec le magenta pour atteindre les marrons, les pourpres, salir les turquoises et donner du contraste aux teintes claires. J’approche les nuances des algues, leurs couleurs brunes, roses et violettes qui ondulent dans le mouvement des vagues. Le blanc de la toile est respecté, je ne le recouvre pas, il me permet d’évoquer la transparence de l’eau et de l’écume, comme un travail à l’encre où le blanc de la feuille revient en premier plan afin de mette en valeur la couleur.
Après la création des teintes de peinture à l’huile, j’imprime sur la toile les mouvements entre l’eau et l’huile. L’aléatoire est à ce stade très présent, je ne peux pas maîtriser le jeu des couleurs sur l’eau. Cela me plaît et m’inquiète en même temps. Mais par dessus tout, cela m’émerveille et il me semble qu’à ce stade là, je fais corps avec la nature par ce côté accidentel, surprenant, magique qui peut parfois nous éblouir.
Après plusieurs jours de séchage, je sélectionne, j’élimine, je recadre, je travaille.Je m’invente des paysages, des formes, des couleurs et des textures. Des animaux et des paysages apparaissent dans le mouvement marin et je me laisse porter par mon imaginaire. Ainsi chaque toile est une parcelle de mes émotions lors de mes balades sur l’estrant de la côte nord du Finistère. Je souligne par quelques traits ou touche de peinture acrylique ma « vision » afin de la rendre plus perceptible. Ce qui m’anime par dessus tout c’est de laisser du mystère, afin que chacun puisse rêver et s’inventer ses propres histoires.
Sculptures animalières et humaines
Modelages en matériaux recyclés (papier, bois, carton, déchets de mer, restant de chantiers de construction) décorés de peinture, de mosaïque ou de chaux et sable
C’est d’abord une volonté sortir de la surconsommation et un travail de récupération
- sur les chantiers de construction : fer à béton, tube de cuivre, plâtre, stérodur, mosaïque, carrelage
- dans les bacs à marée ou les poubelles des pêcheries : tiges de métal, filets de pêche
- dans le quotidien et dans la rue : céramiques anciennes, perles de jai, billes, carton
Enfin, le travail artistique peut se faire, l’oeil invente la forme et les mains se mettent à l’ouvrage : la structure est construite tout respectant la fluidité du mouvement du phoque qui danse dans l’océan. Le travail de la matière me procure le plaisir sensuel de créer et de caresser ce volume souple et doux.
Le phoque au bord de la plage me regarde : les yeux comme des billes semblent vouloir communiquer avec les « gens de la terre ».
Ces animaux sauvages m’inspirent vraiment de la tendresse et de l’admiration !